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MedicAlert – Rendre les lésions cérébrales plus visibles

Lésions cérébrales Canada s’est associé à MedicAlert pour apporter du soutien et de la visibilité aux personnes vivant avec une lésion cérébrale acquise.

Lésions cérébrales Canada est fier de s’associer à MedicAlert, le plus grand organisme de bienfaisance à membres au Canada et le principal fournisseur de services d’information médicale d’urgence. Ce partenariat appuiera la mission de Lésions cérébrales Canada, qui consiste à améliorer la qualité de vie des personnes, des familles et des aidants, suite à une lésion cérébrale.

Puisque les lésions cérébrales sont invisibles, des symptômes comme la lenteur ou le retard d’action, le manque de contrôle des impulsions, l’impossibilité de répondre aux directives ou des problèmes de communication sont souvent mal interprétés comme étant des actes de désobéissance ou de défi. Grâce à la protection de MedicAlert, un moyen efficace d’identifier plus facilement les survivants de lésions cérébrales permet d’assurer qu’ils reçoivent une intervention et un soutien appropriés, tout en sensibilisant les services de police, les services d’intervention d’urgence et le système de justice pénale au sujet des lésions cérébrales.

     

Si vous ou un proche êtes dans une situation d’urgence, il peut être impossible de communiquer efficacement avec les intervenants d’urgence. Le partenariat entre MedicAlert et Lésions cérébrales Canada vise à permettre aux intervenants d’urgence et à la police de vous fournir, à vous ou à votre proche, des soins opportuns et personnalisés. Voici comment:

  • Nos professionnels formés sur le plan médical examinent votre dossier médical. Nous veillons à ce que les intervenants d’urgence et les professionnels de la santé disposent des bons renseignements pour prendre soin de vous.
  • Identification gravée avec la terminologie acceptée mondialement. Les intervenants d’urgence et les professionnels de la santé préfèrent la terminologie médicale normalisée sur votre pièce d’identité.
  • Profil médical complet au dossier. Seul MedicAlert permet aux intervenants d’urgence d’accéder à votre profil médical détaillé.
  • Ligne d’urgence 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, avec préposés. Un agent, et non un service automatisé, répond à votre appel dans un délai moyen de 5 secondes.
  • Service de notification à la famille. Seul MedicAlert avise vos proches de votre situation et de votre emplacement en cas d’urgence.
  • La protection la plus fiable. MedicAlert est le service d’identification médicale le plus fiable parmi les intervenants d’urgence.

Pour seulement 60 $, les survivants de lésions cérébrales recevront*:

  • Un an de service chez MedicAlert,
  • ID MedicAlert GRATUIT
  • Expédition GRATUITE
  • Inscription GRATUITE

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TÉLÉPHONE: (1-866) 696-0272

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Si vous éprouvez des difficultés financières, veuillez composer le (1-800) 668-1507 pour en savoir plus sur le Programme d’aide aux membres de MedicAlert.

Nous comprenons que tous les Canadiens ne peuvent pas s’offrir la protection de MedicAlert. Nous ne refusons de services vitaux à personne, et notre programme d’aide financière offre une aide financière partielle ou complète pour les cartes d’identité MedicAlert et les plans de service aux demandeurs admissibles.

*Carte d’identité gratuite de 39 $ ou rabais de 39 $ sur toute pièce d’identité. Livraison gratuite pour expédition standard seulement. Offre valide pour les nouveaux abonnés seulement. Ne peut être combiné à d’autres offres, certaines exceptions s’appliquent. Organisme national de bienfaisance enregistré 10686 3293 RR0001.

Maintien en vie

Le maintien en vie est le terme utilisé pour décrire toute combinaison de machines ou de médicaments qui assurent le fonctionnement des organes corporels d’une personne alors qu’ils cesseraient autrement de fonctionner [1]. Dans le cas d’une lésion cérébrale, il peut s’agir d’un ventilateur qui aide à respirer et d’autres fonctions de base de la vie.

Beaucoup de choses peuvent se produire lorsqu’une personne est maintenue en vie artificiellement: cela peut être servir lors des chirurgies, pour donner à une personne le temps de guérir ou prolonger sa vie. Selon la fonction cérébrale, le maintien en vie peut simplement prolonger la vie d’une personne jusqu’à ce que sa qualité de vie puisse être confirmée.

Lorsque votre ami ou un membre de votre famille est maintenu en vie en raison d’une lésion cérébrale grave, ce sera choquant et difficile. Vous pourriez être nommé décideur. Si c’est le cas, vous devrez vous préparer à parler avec des médecins et d’autres membres de la famille. Les renseignements fournis par le médecin orienteront les prochaines étapes.

Cette section porte sur les sujets suivants :

  • Maintien en vie
  • Transition après le maintien en vie
  • Retrait du maintien en vie après une lésion cérébrale
  • Comment prendre des décisions concernant le maintien en vie
  • Composer avec les sentiments liés au maintien en vie

Maintien en vie

Si la personne est maintenue en vie, c’est parce que cela est nécessaire. Dans le cas d’une lésion cérébrale, cela peut être dû à une défaillance des organes ou à un manque de fonctionnement du cerveau. Le maintien en vie peut être utilisé temporairement pour stabiliser le patient jusqu’à ce que son fonctionnement normal puisse reprendre.

Ce sont généralement les médecins et les infirmières qui décident de maintenir un patient en vie artificiellement. Les seules exceptions sont si la personne a des instructions médicales écrites stipulant qu’elle ne veut pas être maintenue en vie, ou si la personne qui contrôle les décisions médicales pour le patient les refuse [2].

Transition après le maintien en vie

Le médecin déterminera si l’arrêt du maintien en vie et le retour à la normale sont possibles. Si la personne n’a plus besoin du système de réanimation, on vous parlera du processus. Le patient passera ensuite à l’étape de la guérison et du rétablissement.

Il n’y a pas d’ensemble de règles pour la transition vers la vie normale, ce qui signifie que les médecins ne peuvent pas déterminer combien de temps une personne en aura besoin. Des facteurs comme la gravité de la blessure, la complexité des besoins de la personne et le temps jouent tous un rôle – et ils échappent également au contrôle de chacun. Aussi frustrant et effrayant que cela puisse être, l’équipe médicale fait tout ce qu’elle peut pour votre être cher. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser, ils vous donneront le plus d’informations possible.

Retrait du maintien en vie après une lésion cérébrale

Il se peut que le médecin vous dise qu’il n’y a rien d’autre à faire pour la personne qui a subi une lésion cérébrale et qu’elle ne pourrait pas survivre sans le maintien artificiel des fonctions vitales.

La décision de mettre fin au maintien de la vie après une lésion cérébrale est incroyablement difficile et émotionnelle. Toute décision devra tenir compte des renseignements fournis par le médecin, les autres membres de la famille et, en fin de compte, de tout souhait écrit exprimé par la personne.

Si vous devez prendre cette décision, il pourrait être utile de consulter un être cher en qui vous avez confiance, un thérapeute ou un membre de votre communauté religieuse (si vous êtes religieux).

Il peut aussi y avoir des groupes de soutien composés de personnes qui sont (ou qui ont été) dans votre situation. Faites des recherches sur l’internet ou demandez à l’équipe médicale si elle est au courant de quoi que ce soit.

Au bout du compte, c’est à vous de décider. C’est une énorme responsabilité, mais n’oubliez pas que l’être cher vous a fait une procuration médicale pour une raison : il a confiance en vous.

Comment prendre des décisions concernant le maintien en vie

Consulter le testament de la personne

La personne maintenue en vie artificiellement peut avoir un testament qui inclut des plans pour ce type de situation. Il peut s’agir de savoir si la personne souhaite être maintenue en vie, pendant combien de temps, quelles conditions devraient être en place pour qu’elle cesse de recevoir des soins vitaux et quels sont ses souhaits dans ce cas.

Si une personne ne veut pas être maintenue en vie artificiellement, le médecin se pliera à ses volontés. En l’absence de toute ordonnance, la décision revient à un membre de la famille ou à un tuteur désigné.

Parler à d’autres membres de la famille

D’autres membres de la famille auront des sentiments et des émotions forts à l’égard de la situation. Il est important de tenir compte de leurs sentiments, mais aussi de leur communiquer les constatations du médecin.

Le fait d’avoir un être cher qui est maintenu en vie artificiellement peut entraîner des conversations difficiles et des désaccords familiaux. Essayez de préfacer les conversations en indiquant que toute décision doit être prise pour la personne atteinte de lésions cérébrales, et non pour vous ou les autres. Parlez calmement et utilisez les renseignements fournis par le médecin, et reportez-vous à tout souhait écrit que la personne pourrait avoir.

Consulter les médecins et autres professionnels de la santé

Le médecin de la personne sera en mesure de formuler les meilleures recommandations en ce qui concerne le maintien ou l’interruption du maintien en vie. Ses conseils ne sont peut-être pas ceux que vous voulez entendre, mais dans certaines provinces et certains territoires, c’est le médecin qui prend la décision finale en ce qui concerne le maintien en vie. Le Collège des médecins et chirurgiens de votre province ou territoire pourra vous fournir plus d’information.

En fin de compte, le médecin veut ce qu’il y a de mieux pour la personne qui reçoit des soins vitaux, tout comme vous et les autres membres de votre famille.

Composer avec les sentiments liés au maintien en vie

Vous ressentez peut-être beaucoup d’émotions par rapport au fait que votre ami ou un membre de votre famille est maintenu en vie artificiellement, ainsi que des pressions liées au fait d’être un décideur. Il est normal de ressentir un mélange de tristesse, de culpabilité et de deuil. Comprendre ces émotions peut vous aider pendant le processus.

N’oubliez pas : votre proche vous a fait confiance. Même si vous n’avez pas de procuration ou de document de souhaits médicaux officiel, votre proche a cru en vous et en votre jugement. Il est extrêmement difficile de se retrouver dans une telle situation : faites confiance à des gens de confiance, parlez aux médecins et, surtout, faites confiance à vous-même et à l’information que vous avez reçue.


Voir les sources

 

Cercle de soutien

Le fait de soutenir et de prendre soin d’une personne qui vit avec une lésion cérébrale peut vous faire sentir isolés et seuls. Ce n’est peut-être pas le cas au début. Pendant que l’être cher est à l’hôpital ou lors de son retour à la maison, des gens viennent lui rendre visite, ils apportent de la nourriture, ils appellent et envoient des textos pour avoir de ses nouvelles.

Souvent, avec le temps, cela change. Vous vous rendez peut-être compte que votre cercle social, et le cercle social de votre ami ou membre de votre famille, a considérablement diminué depuis sa blessure. Les offres d’aide s’estompent, et vous vous retrouvez peut-être devant la tâche intimidante d’avoir à prendre soin d’eux seul.

Les gens ont besoin du soutien des autres, surtout lorsqu’il s’agit de prendre soin d’une personne ayant subi une lésion cérébrale. Vous avez peut-être plus de soutien que vous ne le pensez – vous n’avez qu’à prendre le temps de penser à l’ensemble de votre réseau.

Lorsque vous établissez un cercle de soins, vous établissez un réseau de personnes sur lesquelles vous pouvez compter pour vous soutenir, vous et votre proche.

Une façon facile d’identifier votre cercle de soutien est de dessiner un cercle avec vous (ou votre proche) au centre. Selon votre situation, vous pouvez avoir plusieurs niveaux de soutien, avec des personnes qui aident votre proche ou d’autres qui vous aident, vous.
Pour développer votre cercle de soutien, vous devez voir à quel niveau se situe chaque membre de votre équipe de soutien.

Diagramme du cercle de soutien. Un cœur au centre et trois anneaux autour avec des icônes de personnes.

Cercle intérieur

Le cercle intime est habituellement le plus près de la personne qui a subi une lésion cérébrale ou de vous. Ce sont les personnes sur lesquelles vous comptez le plus et qui participent plus étroitement au rétablissement et aux soins. Il s’agit probablement de l’endroit où vous vous trouveriez aussi.
Les autres membres du cercle intime de soutien et de soins peuvent comprendre :

  • Parents
  • Conjoint/partenaires
  • Enfants
  • Frères et sœurs
  • Amis proches

Ce sont les personnes à qui vous pourriez demander de vous aider, au besoin.

Cercle du milieu

L’étape suivante comprend les personnes qui participent à la vie de la personne, mais peut-être pas au quotidien. Il peut y avoir un large éventail de personnes dans ce cercle. En voici des exemples :

  • Tantes et oncles
  • Grands-parents
  • Amis et leurs conjoints ou partenaires;
  • Voisins
  • Amis de la famille
  • Personnes de soutien spirituel et confessionnel
  • Pairs ou camarades de classe et leur famille
  • Collègues

Cercle extérieur

Le cercle extérieur est composé de personnes et d’organisations qui n’interviennent pas quotidiennement, mais sur lesquelles on peut quand même compter pour obtenir du soutien, notamment :

Membres de soutien officiel

Le cercle de soutien peut également comprendre des soutiens plus formels comme des aidants rémunérés. Selon l’étape où la personne se trouve dans son rétablissement, un membre du soutien officiel peut se trouver dans le cercle du milieu (comme un gestionnaire de cas ou un préposé aux services de soutien à la personne) ou dans le cercle extérieur (comme un psychologue ou un médecin de famille).
Les personnes suivantes pourraient être considérées comme des soutiens officiels :

  • Docteur
  • Infirmière
  • Physiothérapeute
  • Ergothérapeute
  • Travailleur social
  • Gestionnaire de cas
  • Orthophoniste
  • Psychologue
  • Chiropraticien
  • Avocat

Le cercle de soutien concerne à la fois les survivants et les soignants.

Bien que le cercle de soutien soit conçu pour la personne ayant subi une lésion cérébrale, il l’est aussi pour vous. Si vous êtes le principal fournisseur de soins, vous aurez beaucoup de responsabilités et une grande partie de votre temps sera consacrée à votre ami ou membre de votre famille. Bien que la prestation de soins soit gratifiante, elle peut aussi être stressante. Il est important que le principal aidant ait un réseau de soutien qui peut l’aider lorsqu’il a besoin de répit. C’est là que le cercle de soutien est utile.

Identifiez votre cercle de soutien

Pour identifier le cercle de soutien, énumérez toutes les personnes présentes dans la vie de votre proche qui ont manifesté de l’intérêt à maintenir une relation ou à aider. Vous pouvez aussi inclure des personnes qui vous ont offert de vous aider à donner des soins.

Identifiez les domaines où de l’aide est nécessaire

Il est utile d’avoir à portée de main une liste des tâches ou des activités pour lesquelles vous pourriez avoir besoin de soutien. Divisez la liste en différentes catégories : tâches quotidiennes, tâches hebdomadaires ou tâches occasionnelles.

Chaque personne et votre relation avec elle détermineront où elle se situe dans votre cercle de soutien. Si elle peut vous aider à faire de petites choses occasionnelles, comme ramasser votre courrier, vous apporter un repas, vous conduire à vos rendez-vous ou réparer un article brisé chez vous, elle peut être dans votre cercle extérieur. Si la personne peut aider plus fréquemment, avec les activités de la vie quotidienne, par exemple, elle fait partie de votre cercle intime.

Cultiver votre cercle

Il est important que les membres de votre cercle comprennent à quel point ils sont importants pour vous/la personne ayant subi une lésion cérébrale. Si vous le souhaitez, vous pouvez présenter les membres de votre cercle les uns aux autres, et ainsi transformer votre cercle de soutien en une véritable communauté.
Vous pouvez aussi cultiver votre cercle en aidant les gens à comprendre ce dont vous et la personne ayant subi une lésion cérébrale avez besoin.
Il y a plusieurs ressources qui peuvent être utiles pour les membres de votre cercle restreint :

Nous avons tous besoin de gens qui peuvent nous appuyer, et la création d’un cercle de soins est l’un des meilleurs moyens de veiller à ce que vous et la personne ayant une lésion cérébrale obteniez le soutien et la compassion dont vous avez besoin.

La COVID-19 et le vaccin contre la COVID-19

La maladie du coronavirus (COVID-19) existe dans le monde depuis 2020. Elle a affecté la santé de millions de personnes et a malheureusement causé des centaines de milliers de décès. Cela a également entraîné la séparation de familles et d’amis pendant de longues périodes, perturbé les entreprises locales et créé des retards dans le système médical. Cela a entraîné une perte d’accès aux services de réadaptation et de soutien pour certaines personnes, y compris celles qui souffrent de lésions cérébrales.

Le Canada a mis en place un programme de vaccination contre la COVID-19 qui offre des vaccins à toute personne de plus de 12 ans qui en veut. Des millions de doses ont été administrées, ce qui a aidé les provinces et les territoires à accueillir des visiteurs, à accroître la capacité commerciale et à alléger le fardeau du système médical.

La compréhension de la maladie COVID-19 et des vaccins est un élément important de la compréhension de leur impact sur la vie quotidienne.

Effets de la COVID-19

Les symptômes de la COVID-19 varient, mais il y en a quelques-uns qui sont plus courants [1], notamment:

  • Toux
  • Essoufflement
  • Fièvre
  • Frissons
  • Douleurs corporelles
  • Fatigue
  • Perte d’odeur ou de goût
  • Maux de tête
  • Douleur à l’estomac
  • Vomissements

Bien que de nombreuses personnes se rétablissent complètement, certains patients ressentent des symptômes à long terme. Ces symptômes peuvent également avoir une incidence négative sur des problèmes de santé préexistants.

Des études portant sur des patients atteints de la COVID-19 ont révélé plusieurs effets à long terme sur les organes [2], notamment:

  • Des dommages au muscle cardiaque
  • Des dommages aux poumons causés par une forme ou une pneumonie connexe
  • Des effets neurologiques

La COVID-19 demeure une maladie relativement nouvelle et bon nombre de ses effets à long terme restent inconnus. C’est l’une des raisons pour lesquelles les mesures de sécurité dans le monde ont été si importantes, et pourquoi bon nombre d’entre elles sont encore en vigueur.

Incidence de la COVID-19 sur les Canadiens

Les effets de la COVID dépassent le domaine de la santé. En fait, en raison de la nature de la maladie et des mesures de sécurité en place, la vie quotidienne a changé à l’échelle mondiale, par:

  • Des restrictions sur le nombre de personnes dans les espaces partagés
  • Un virage vers les services et les rendez-vous en ligne, ce qui entraîne une dépendance à l’égard des appareils numériques et d’internet
  • Des retards dans les procédures médicales, les rendez-vous et la réadaptation
  • Des pertes de revenus pour les entreprises locales, entraînant une incertitude économique
  • Un isolement accru
  • Une augmentation des problèmes de santé mentale
  • Une augmentation des problèmes d’accessibilité (particulièrement en ligne) qui a créé plus d’obstacles pour les personnes handicapées

Il faudra des années avant de connaître tous les effets de la COVID-19 sur la santé et la société. De nombreuses personnes devront également composer avec les résultats de leur expérience de pandémie pendant longtemps.

Renseignements sur le vaccin contre la COVID-19

Bien que la COVID-19 fasse encore partie intégrante de la vie quotidienne, l’introduction du vaccin contre la COVID-19 a permis au Canada de combattre la maladie et de donner aux gens la possibilité de retourner à des activités en mode présentiel, de revoir leur famille et leurs amis, et d’avoir accès à des soutiens et à des services qui n’étaient peut-être pas disponibles au plus fort de la pandémie.

Santé Canada a rigoureusement testé et approuvé les vaccins contre la COVID-19 actuellement utilisés au Canada. Seuls les vaccins qui se sont révélés sûrs, efficaces et de grande qualité sont autorisés [3].

Les vaccins contre la COVID-19 au Canada ne contiennent aucune forme de la maladie et ne peuvent donc pas vous la transmettre.

Le vaccin est offert en deux doses pour vous donner le plus haut niveau de protection possible. Plus il y a de personnes vaccinées, plus on peut recommencer d’activités.

Quels sont les effets secondaires du vaccin contre la COVID-19?

Comme pour tout vaccin, il y a certains effets secondaires, notamment [4] :

  • Fièvre
  • Fatigue
  • Maux de tête
  • Douleur au point d’injection

Ces effets secondaires sont à court terme et constituent une réponse naturelle aux vaccins.

Que contient le vaccin contre la COVID-19?

Comme il existe différents vaccins contre la COVID-19, ils peuvent contenir des ingrédients différents. Le gouvernement du Canada affiche les ingrédients médicaux pour chacun des vaccins autorisés sur son site web.

Certaines personnes sont allergiques à certains ingrédients médicaux et ne peuvent donc pas recevoir certains vaccins. Consultez un médecin si vous êtes incertain ou si vous avez besoin d’un deuxième avis sur les vaccins.

Le vaccin est l’outil le plus puissant contre la COVID-19

Le vaccin contre la COVID-19 permet aux familles de se réunir, aux services de réadaptation de recommencer leurs activités et à d’autres aspects de la vie quotidienne de reprendre. Il aide à protéger les membres de la collectivité contre une maladie dévastatrice.

Si vous cherchez de plus amples renseignements sur les vaccins ou si vous avez des questions sur le processus de vaccination, communiquez avec votre médecin ou un membre de votre équipe médicale.

Plus d’information sur les vaccins contre la COVID-19


Voir sources

Surdose d’opioïdes – sources

Sources de surdose d’opioïdes pour les soignants

Information provided in part by the Canadian Mental Health Association

[1] Government of Canada

[2] Bjork, J., & Grant, S. (2009, July). Does traumatic brain injury increase risk for substance abuse? Retrieved October 26, 2020, from https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2989860/

[3] Government of Canada

[4] Headway

[5] Corrigan, J. D. (1995). Substance abuse as a mediating factor in outcome from traumatic brain injury. Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 76 (4), 302-309

personnes atteintes de lésions cérébrales sources de surdose d’opioïdes

[1] Government of Canada

[2] Headway

Toxicomanie des aidants sources

Les informations et le contenu de cette page ont été fournis en partie par le Acquired Brain Injury Partnership Project of Saskatchewan.

[1,2] Gouvernement du Canada – Consommation de substances au Canada

[3]Informations fournies par l’Association canadienne pour la santé mentale.

[4] Corrigan, J. D. (1995). Substance abuse as a mediating factor in outcome from traumatic brain injury. Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 76 (4), 302-309

[5] Acquired Brain Injury Partnership Project of Saskatchewan

[6] msktc.org

 

Prendre soin des soignants

Le travail de soignant ou d’aidant naturel est à la fois stimulant et gratifiant. En fait, c’est plus qu’un travail : c’est un mode de vie. Un aidant naturel est quelqu’un qui fait passer les besoins des autres en premier et qui améliore leur qualité de vie. Les aidants soutiennent les gens qui ont des capacités réduites et leur donnent l’amour et le respect qu’ils méritent tout en assurant leur sécurité.

En tant que soignant, vous passez beaucoup de temps à penser aux autres. Ceci est extrêmement important et nécessaire pour les survivants de lésions cérébrales, qui ne sont peut-être pas capables de penser ou de faire des choses pour eux-mêmes. C’est aussi gratifiant pour vous de pouvoir soutenir ces personnes. Mais il est important de vous rappeler que vous devez prendre soin de vous-même, en particulier de votre santé mentale, physique et émotionnelle. Prendre soin d’autrui est important, mais c’est aussi épuisant. Selon une étude de Statistique Canada en 2012 :

Le pourcentage d’aidants naturels qui déclarent se sentir déprimés est de 38 % pour les aidants qui s’occupent de leur enfant, 34 % pour ceux qui s’occupent de leur conjoint et 21 % pour ceux qui aident leurs parents. Ces aidants passent au moins deux heures par semaine à s’occuper de leurs proches. Les aidants qui s’occupent d’un conjoint ou d’un enfant ont également rapporté davantage de problèmes de santé et de problèmes psychologiques, principalement en raison de l’intensité des soins fournis [1].

Il est courant que les gens qui passent la majeure partie de leur temps à s’occuper des autres mettent leur propre bien-être de côté. Cela entraîne un risque accru de problèmes physiques, mentaux et/ou émotionnels. Vous pouvez aimer ce que vous faites et être heureux de le faire tout en ressentant les effets de la prestation de soins. C’est pourquoi il est important que vous compreniez comment la prestation de soins peut affecter votre santé et comment prendre soin de vous-même afin de pouvoir continuer à prendre soin des autres.

Cette section aborde les sujets suivants:


L’importance de l’auto-compassion

Je me sens coupable de penser à moi-même lorsqu’on a besoin de mon aide.

C’est ce qu’éprouvent de nombreux aidants : ils ne devraient pas se concentrer sur eux-mêmes lorsqu’il y a quelqu’un d’autre qui a besoin de leur aide. Lorsque vous êtes aux prises avec des problèmes de santé mentale et de bien-être général, d’autres aspects de votre vie et de la vie de la personne ayant une lésion cérébrale acquise seront touchés.

L’auto-compassion équivaut à prendre soin de soi-même. C’est essentiel si vous voulez rester en santé. Vous pouvez le faire en étant gentil envers vous-même et conscient de vos sentiments et de votre environnement. Accordez-vous de l’espace et du temps pour explorer vos sentiments et reconnaissez qu’il est important de prendre soin de vous.

Renforcez votre résilience en tant que soignant

La prestation de soins exige de la souplesse car il y a beaucoup de défis imprévus. Par conséquent, les aidants naturels doivent renforcer leur résilience personnelle. La résilience est définie comme la capacité de maintenir le bien-être et le fonctionnement efficace face à des niveaux élevés de perturbation. Autrement dit, c’est la capacité de rester calme sous pression et de s’adapter aux changements. Il s’agit d’une compétence précieuse pour un soignant, et il y a plusieurs façons d’y arriver.

  • Soyez en contact avec votre système de soutien. Plus votre système de soutien est fort, plus vous serez fort.
  • Acceptez le changement. Beaucoup de gens trouvent le manque de contrôle stressant. En laissant aller ce qui ne peut pas être changé et en vous concentrant sur ce que vous pouvez contrôler, vous renforcerez votre résilience.
  • Concentrez-vous sur les aspects positifs de votre rôle. Vous faites quelque chose d’extraordinaire, et il est important de vous le rappeler souvent.

L’épuisement des aidants naturels

En tant que soignant, vous avez de nombreuses responsabilités quotidiennes, notamment :

  • Faire face à des comportements difficiles
  • Assurer le transport d’autrui
  • Faire des tâches ménagères
  • Assurer l’hygiène et les soins personnels – y compris le bain et l’habillement
  • Soulever/déplacer physiquement la personne dont vous avez la charge

Cela ne comprend pas les responsabilités liées aux membres de votre famille ou à votre emploi (si vous continuez de travailler à l’extérieur du foyer). Au fil du temps, vous pourriez éprouver un stress accru, des problèmes physiques ou des difficultés émotionnelles causées par :

  • Le nombre de choses que vous faites
  • Le temps nécessaire pour accomplir les tâches
  • Les tensions émotionnelles et physiques liées à l’exécution des tâches
  • Le défi de s’adapter à ce nouveau mode de vie
  • Les contraintes financières
  • Les difficultés liées à l’équilibre entre le travail et la prestation de soins

L’épuisement des soignants survient lorsque vous atteignez un point d’épuisement physique, mental et émotionnel où vous ne pouvez plus fonctionner. Cela peut se produire sur de longues périodes. Dans la plupart des cas, prendre soin d’une personne ayant subi une lésion cérébrale est un engagement à vie. Cela peut contribuer au risque d’épuisement des soignants. Si vous êtes épuisé – ou si vous vous sentez proche de l’épuisement – il est temps d’utiliser des stratégies pour améliorer votre santé et votre mieux-être personnels.

Symptômes possibles d’une détérioration de la santé mentale, physique et émotionnelle
Le stress et les problèmes de santé mentale des aidants naturels peuvent être identifiés par divers symptômes, notamment :

  • L’anxiété
  • La dépression
  • La fatigue
  • Le sentiment d’isolement, d’impuissance
  • Les maladies et les malaises fréquents
  • L’irritabilité ou le ressentiment envers la personne dont vous vous occupez
  • Le perte d’intérêt pour vos besoins et désirs personnels
  • Les migraines
  • Les sautes d’humeur
  • Les tensions musculaires
  • Les douleurs
  • Un sommeil agité ou perturbé
  • Le sentiment de perte ou de deuil
  • Sauter des repas
  • Des problèmes d’estomac
  • De la toxicomanie
  • Des grincements des dents/serrement des mâchoires
  • De la difficulté à se concentrer

Le deuil

Le deuil est courant après une lésion cérébrale, tant pour le survivant que pour vous (surtout si vous avez une relation personnelle étroite avec cette personne). Beaucoup de choses ont changé pour vous deux, et vous ressentez un sentiment de perte tout à fait normal.

Le deuil n’est pas un processus rapide. Il y aura de bons et de mauvais jours, et cela peut durer plusieurs mois. Bien qu’il soit normal de vivre un deuil, il est important de ne pas vous laisser dévorer. Avec du temps, de la patience et de l’engagement à prendre soin de vous et de votre ami/membre de la famille, la situation s’améliorera.

Façons d’améliorer votre santé mentale et votre bien-être

Apprenez à reconnaître les situations de stress
Il est important de comprendre comment vous réagissez au stress. Il pourrait s’agir d’un changement d’appétit ou du fait de se mordre les ongles, serrer la mâchoire ou ressentir une tension musculaire accrue. Ce ne sont que quelques exemples de la façon dont le stress peut se manifester.

Chaque jour, réfléchissez à vos sentiments et actions – vous pouvez même les écrire. En identifiant plus clairement votre stress, vous pourrez vous aider vous-même.

Priorisez et allégez votre liste de choses à faire
Beaucoup de soignants essaient de tout faire, tout seuls, en même temps, ce qui mène à un horaire surchargé et beaucoup de stress. En travaillant à l’établissement des priorités et en comprenant vos disponibilités en termes de temps et de capacités, vous serez moins stressé par votre liste de choses à faire.

Voici quelques conseils pour alléger et prioriser votre liste de choses à faire :

  • Catégorisez. Déterminez ce qui est essentiel et urgent, et ce qui est important plus à long terme/moins immédiat.
  • Gardez un calendrier pour organiser et  visualiser votre horaire.
  • Planifiez à l’avance. Au lieu de planifier un jour ou deux à la fois, planifiez plusieurs jours ou semaines à l’avance.
  • Laissez-vous du temps libre. Des choses peuvent arriver pendant la journée. En prévoyant du temps libre à l’avance, vous ne vous sentirez pas débordé ou anxieux de trouver du temps pour terminer quelque chose. S’il n’y a pas de tâches surprise, vous aurez du temps libre pour faire des activités amusantes avec votre proche.
  • Éliminez les vieilles tâches, et essayez de ne pas les reporter sur vos nouvelles listes. Sinon, votre liste de choses à faire apparaît plus longue et peut favoriser un sentiment de culpabilité.
Fixez des objectifs réalistes
Afin de réduire votre stress et créer une liste de choses à faire prioritaires, vous devez établir des objectifs réalistes. L’une des façons les plus rapides de devenir stressé est d’avoir trop d’attentes envers vous-même. Voici quelques conseils pour établir des objectifs :

  • Divisez les grands objectifs en objectifs plus petits
  • Ayez des objectifs spécifiques
  • Établissez vos objectifs avec une orientation positive

Si, pour une raison quelconque, vous n’atteignez pas l’un de vos objectifs, ne vous découragez pas. Examinez plutôt pourquoi cela n’a pas fonctionné et utilisez vos constatations pour vous aider à établir vos prochains objectifs. En vous fixant des objectifs réalistes, vous serez plus en mesure de les atteindre, ce qui aura pour effet de calmer votre frustration et de souligner les progrès que vous avez réalisés.

Vous pouvez utiliser ces mêmes conseils pour aider votre ami ou un membre de votre famille à établir ses propres objectifs.

Demandez de l’aide
Vous disposez d’un réseau de personnes – membres de la famille, amis et professionnels – vers lequel vous pouvez vous tourner si vous avez besoin d’aide pour vous-même ou pour la personne ayant une lésion cérébrale. Les gens sont souvent heureux d’aider, mais parfois ils ne savent tout simplement pas comment. Dites-leur exactement ce qu’ils peuvent faire pour aider.
Dites non
Lorsque vous dites ‘oui’ à chaque demande, cela peut entraîner une énorme responsabilité et  demander beaucoup de votre temps. S’il y a quelque chose que vous ne pouvez pas faire, dites ‘non’. S’il faut faire quelque chose, mais que vous ne pouvez pas le faire, demandez de l’aide à un ami ou à un membre de la famille.
Participez à un groupe de soutien
La communauté des victimes de lésions cérébrales au Canada compte de nombreux groupes de soutien, y compris des groupes de soignants. Parler et socialiser avec des gens qui connaissent vos difficultés peut s’avérer un nouveau système de soutien. Vous pouvez même y trouver des conseils qui peuvent vous aider à la maison.

Essayez des activités de détente
Les activités de détente sont un excellent moyen de se reposer mentalement tout en améliorant son humeur. Bien que chacun ait des préférences différentes, voici quelques activités possibles :

  • Cuisiner
  • Faire de l’artisanat/essayer des passe-temps comme le tricot
  • Prendre des cours d’exercice physique
  • Rencontrer des amis
  • Faire des casse-têtes
  • Lire
  • Prendre des marches
  • Faire du yoga et de la méditation

Consultez quelques exemples d’activités d’autogestion de la santé

Gardez un journal
De nombreuses personnes choisissent de tenir un journal, ce qui peut aider à réduire le stress et à faire le suivi des symptômes de stress. Voici quelques conseils pour tenir un journal sur votre santé mentale :

  • Écrivez le plus souvent possible
  • Écrivez honnêtement
  • Écrivez dans le style ou le format que vous voulez
Prenez un répit
Le répit, c’est une courte pause ou une période de temps loin de quelque chose de difficile. Être un aidant naturel est difficile et tout le monde a besoin de temps pour soi-même. Il existe plusieurs façons de vous offrir un répit :

  • Chez vous : quelqu’un vient à la maison comme aide familial temporaire
  • En établissement : votre proche se rend dans un établissement de soins pour un séjour temporaire
  • Programmes de jour : votre proche y passe une journée

Pour en savoir davantage sur ces types de soins de relève, consultez le guide sur les soins de relève de l’Association canadienne des soins de santé.

Les coûts des soins de relève varient d’une province ou d’un territoire à l’autre. Le gouvernement du Canada a préparé un rapport sur les soins de relève financés par l’État au Canada.

Le répit peut être d’une journée, d’une fin de semaine ou d’une durée plus longue. Il y a de nombreux avantages au répit pour les aidants naturels, notamment :

  • Moins de stress
  • Des améliorations de votre humeur
  • Plus de temps pour vous reposer et rétablir votre niveau d’énergie
  • Du temps pour explorer vos intérêts personnels
Maintenez vos autres relations
Il est facile de perdre le contact avec les gens quand on est aidant naturel. En continuant de prendre du temps pour d’autres personnes importantes dans votre vie – même si ce n’est que quelques minutes – vous gardez le contact et vous appréciez les gens qui vous soutiennent et vous apprécient.
Suivez des séances de counseling
Le counseling est bénéfique pour toutes sortes d’expériences. Le fait de parler régulièrement avec un thérapeute professionnel vous donnera un exutoire constructif pour atténuer votre stress et vos préoccupations. Leur point de vue sera objectif, et vous pouvez parler aussi honnêtement que vous le voulez.
Adoptez un animal de compagnie
Non seulement les animaux de compagnie sont-ils mignons et amicaux, ils ont aussi des effets bénéfiques sur la santé physique et mentale de leurs propriétaires. Des études ont révélé que les propriétaires d’animaux domestiques :

  • Se sentaient moins stressés
  • Étaient plus actifs
  • Avaient une tension artérielle plus basse
  • Socialisaient davantage

Les animaux de compagnie peuvent aussi être fantastiques pour des personnes qui vivent avec des lésions cérébrales. Avoir un petit ami à fourrure peut les encourager, les motiver à contribuer (si possible) aux soins de l’animal et leur offrir de la compagnie.

Toutefois, puisqu’un animal de compagnie est une responsabilité supplémentaire, il est important d’en parler avec d’autres membres de votre famille et de prendre le temps d’envisager cette option. Ce n’est peut-être pas le meilleur choix pour tout le monde.

Ressources pour les aidants naturels


Voir les sources


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  • Le produit ou le service promet une solution rapide
  • L’offre paraît trop beau pour être vrai
  • Le produit ou les services sont spectaculaires ou radicaux et ne sont pas appuyés par des organisations médicales et scientifiques de bonne réputation.
  • Des termes comme « la recherche est en cours » ou « résultats préliminaires de la recherche » sont utilisés, ce qui indique qu’il n’y a pas de recherche en cours.
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Faites toujours preuve de prudence et suivez les conseils de votre équipe médicale.